35,10,0,50,1
25,600,60,0,3000,5000,25,800
90,150,1,50,12,30,50,1,70,12,1,50,1,1,1,5000
0,2,0,0,2,40,15,5,2,1,0,20,0,1
Des trous dans le jardin
Des trous dans le jardin
Destructions diverses en votre absence
Destructions diverses en votre absence
Le chien monte sur le canapé
Le chien monte sur le canapé
Léchage de pieds de table...
Léchage de pieds de table...
Léchage de pieds de table par Hercule
Léchage de pieds de table par Hercule
Très mauvais caractère de caniche
Très mauvais caractère de caniche

 Un député

veut interdire

la vente de chiots

en animalerie.

 

Près de 100000 chiots et chatons sont illégalement introduits en France et alimentent ainsi les animaleries.

Dans sa proposition de loi n°2957 visant à interdire la vente de chiens et de chats en animalerie, le Député de l'Eure (27) Jean-Pierre Nicolas dénonce le trafic de la drogue et des armes, et celui des animaux qui arrive en troisième position.

Sans rappeler la loi du 1er janvier 1999 relatives aux chiens dangereux, loi renforcée par la loi du 1er janvier 2016 relative à la protection des animaux de compagnie, Ce Député rappelle qu'en France "la vente de chiots est interdite avant l'âge de 8 semaines. Cette date est importante car la socialisation du chiot s'établit à cette période ; séparer la portée de la mère plus tôt serait une erreur. Il en résulterait presque certainement des troubles du comportement : le chiot étant seul est craintif, a peur de l'homme..."

 

Il précise que "la grande majorité des animaleries n'offrent aucune garantie de santé. Les animaux vendus sont souvent malades, voire atteints d'affections incurables. Par ailleurs, le pedigree de la plupart des chiots vendus en animalerie est trafiqué, de même que leur date de naissance.
Les chiots et chatons sont élevés en batterie, retirés beaucoup trop tôt à leur mère (pas encore sevrés et surtout pas de tout sociabilisés).
Ils font 2000 kilomètres pour arriver dans les animaleries, dans des conditions de transport insalubres et insupportables. C'est pour cela que beaucoup meurent avant d'arriver derrière les vitrines des animaleries.

La plupart des survivants n'ont été ni vaccinés, ni vermifugés correctement. Ils sont donc le plus souvent malades voire mourants."

Il termine son exposé en indiquant que "c'est l'acheteur au final qui est trompé. En effet, plusieurs familles ayant acquis ces chiots ont dû faire face à bon nombre de déceptions et de tristesse : mort prématurée, pedigree rarement envoyé, visites vétérinaires à répétition devant l'état de santé déplorable de leur chiot."

Cyrius, jeune boxer de 3 mois 

 

Grande-Bretagne :

Fini les ventes de

chiens et de chats

en animalerie

 

 

Article du 08 avril 2020 de 30 millions d'amis que je vous invite à découvrir dans l'intégralité sur leur site.

La loi Lucy, en hommage à une chienne victime d'une usine à chiots au Pays de Galles, vient d'être adoptée en Angleterre (06/04/2020).

Elle interdit la vente de chiens et de chats en animalerie ou en élevage industriel et alourdit les peines contre les trafics.

Un bond en avant en matière de bien-être animal outre-Manche, qui tranche avec l'inaction française dans ce domaine.
30millionsdamis.fr a contacté les instigateurs de ce projet, aujourd'hui devenu réalité.

"Lucy's Law is here !" C'est avec une joie non contenue que les défenseurs de la cause animale en Angleterre applaudissent l'interdiction officielle de la vente de chiens et chats en animalerie après plusieurs années de travail. En cette période de tensions - y compris pour les refuges britanniques - causées par les conséquences dramatiques de la propagation du Covid-19, cette avancée est une bonne nouvelle. "Aujourd'hui est une étape importante pour le bien-être animal et une étape majeure vers la fin de l'élevage et de la contrebande cruels de chiots, a affirmé Zac Goldsmith, ministre de l'Environnement en charge du bien-être animal outre-Manche. [...] Je suis tellement heureux que nous ayons enfin cette législation cruciale qui aidera à lutter contre le terrible commerce des chiens et des chats par des tiers.

Concrètement, la loi britannique met fin aux intermédiaires dans la vente des chiots et chatons. Toute personne souhaitant avoir un animal de compagnie devra solliciter un refuge pour animaux ou un éleveur déclaré responsable par l'autorité publique. Dans ce dernier cas, l'éleveur sera obligé d'élever les jeunes animaux avec leur mère et les garder dans des bonnes conditions. En outre, les sanctions contre les actes de cruauté seront alourdies, passant de 6 mois... à 5 années d'emprisonnement au maximum.

À l'annonce de l'adoption de ces mesures, les défenseurs de la cause animale ont exulté, à commencer par le Dr Marc Abraham, fondateur de l'association " Pup Aid " et instigateur de la campagne "Lucy" depuis plusieurs années :
"C'est une immense victoire pour le bien-être animal, réagit le vétérinaire pour 30millionsdamis.fr. Avec tous ceux qui ont défendu cette cause, nous sommes très heureux, fiers et un peu submergés par l'émotion".

"C’est une superbe nouvelle, renchérit Lucy Cooper, porte-parole de la RSPCA (Royal Society for the Prevention of Cruelty to Animals), interrogée par 30millionsdamis.fr. Au cours de la dernière décennie, nous avons traité près de 30 000 plaintes concernant le commerce illégal de chiots. Nos sauveteurs ont secouru des chiens dans des situations de cruauté inimaginable. Nous espérons que ces lois seront correctement appliquées afin que tous les chiens utilisés pour la reproduction et la vente mènent une vie heureuse et saine. Où leur bien-être sera plus important que les bénéfices."

Ce progrès en matière de bien-être animal n'aurait pu être possible sans le tollé suscité par l'histoire d'une chienne du nom de Lucy, un Cavalier King Charles Spaniel qui donne aujourd'hui son nom à cette loi. L'animal avait été sauvé des horreurs d'une ferme à chiots au Pays de Galles, en 2013. L'exemple de cette pauvre chienne qui a passé une grande partie de son existence en cage a permis aux associations de protection animale de sensibiliser le grand public à la maltraitance. Lucy a perdu la vie en 2016, devenant le symbole du combat contre les "usines à chiots".

"Lucy était une chienne incroyablement courageuse et sa mémoire est honorée par cette loi si importante, se réjouit le Dr Marc Abraham. Nous estimons qu'environ 80 000 chiots sont vendus chaque années par l'intermédiaire de revendeurs tiers légaux." 

 

CORONAVIRUS SARS-Cov2 :
 
Nos chats peuvent-ils se transmettre le virus ?
 
 

 Selon une étude postée le 1er avril 2020 sur le site de prépublication bioRxive, puis après avoir été publiée une semaine plus tard dans la revue Science, notre chat serait plutôt sensible au coronavirus SARS-Cov2, contrairement au cochon, au poulet ou au canard qui, apparemment, ne seraient pas sensibles à ce virus.

Velda, chatte de 7 ans
L'infection par le coronavirus serait plus sévère chez les chatons. Sa présence a été constatée dans les selles de chat après inoculation nasale via des gouttelettes. Après avoir été infecté, le chat développe ses anticorps.
Récemment, le 5 avril 2020, un tigre de Malaisie d'un zoo de New-York présentait une toux sèche et a été testé positif au Coronavirus. Il semblerait que le gardien de ce félin ait transmis le coronavirus.
 
D'autre part, ce 22 avril 2020, les centres de prévention et de luttes contre les maladies (CDC) rapportait que dans l'État de New-York deux chats avaient été positifs. Ces 2 chats auraient été contaminés par l'homme et auraient développé une maladie respiratoire modérée.Cependant en l'absence de test sérologiques, il n'a pas été précisé si un membre de la famille avait été infecté.
 
Selon les autorités sanitaires, l'animal aurait été contaminé par une personne asymptomatique. Par contre le propriétaire de l'autre chat avait été testé positif au coronavirus (covid-19).

En Belgique, fin mars les services sanitaires indiquaient qu'un chat avait été contaminé par son maître atteint de covid-19.

De ce fait, des chercheurs de l'école vétérinaire de l'université du Wisconsin (USA) et de l'institut national japonais des maladies infectieuses (Japon) ont mesurer l'excrétion nasale des chats  auxquels les chercheurs ont inoculé le coronavirus. Trois chats âgés de 3 à 4 mois ont été inoculés de différences façon: nasale, oculaire, orale et trachéale pour évaluer la transmission virale entre 3 chats malades et 3 autres chats non contaminés. Les chats contaminés ont continué à excréter le virus au niveau nasal durant 4 à 5 jours, mais le virus n'a pas été trouvé dans les prélèvement anales.

LE CHAT, TRANSMETTEUR ASYMPTOMATIQUE ?

Durant ces expériences, aucun chat n'a présenté le moindre symptôme (pas de fièvre, de perte de poids et de conjonctivite) ; Ils ont tous développé des anticorps.

La facilité de contamination entre chats infectés et ceux non malades fait dire à ces chercheurs que "il est nécessaire sur le plan de la santé publique d'étudier plus en avant la chaîne de transmission potentielle homme-chat-homme". Les chercheurs rappellent également qu'un cas de transmission du virus de la grippe aviaire H7N2 avait été rapporté en 2016 chez un vétérinaire qui travaillait dans un refuge pour chats à New-York.

Et pour conclure : "Étant donné la nécessité d'arrêter la pandémie du covid-19 par différents moyens, notamment en cassant les chaînes de transmission, il est nécessaire de mieux comprendre le rôle que les chats peuvent jouer dans la transmission du SRAS-cov2 à l'homme."

En France deux chats domestiques contaminés

L'étude des chercheurs américains et japonais a été publiée 2 jours avant que le laboratoire de l'école vétérinaire de Toulouse ne rapporte qu'un second chat domestique avait été testé positif pour le SARS-cov2 à Bordeaux.
Les résultats avaient été obtenus par une unité de recherche en virologie de l'école nationale vétérinaire d'Alfort, de l'Agence nationale de la sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) et de l'Institut national de la recherche agronomique (INRAE), en lien avec l'Institut Pasteur.

L'animal avait été testé positif par la technique PCR sur un prélèvement rectal. Les écouvillons nasopharyngés de l'animal étaient en revanche négatifs. Ce chat, qui montrait de légers signes respiratoires et digestifs, avait probablement été infecté par ses propriétaires.

Tout en soulignant que la transmission de l'homme au chat est rare, l'école nationale vétérinaire d'Alfort recommande néanmoins la "distanciation physique".

"Afin de protéger leur animal familier, il est conseillé aux personnes malades du convid-19 de limiter les contacts étroits avec leur(s) chat(s), de porter un masque en sa présence et de se laver les mains avant de le caresser", peut on lire sur lire sur leur site.

Article ci-dessous très instructif du 21 avril 2020 écrit par Bénédicte DEMMER, journaliste,

provenant du site "Doctissimo santé" que je vous invite à découvrir en cliquant sur ce lien.

 

image de chauve-souris
Les animaux de compagnie
 
peuvent-il attraper
ou
transmettre le coronavirus ?
 
VOIR AUSSI
 

Après le tout premier cas d'un chien testé positif au nouveau coronavirus COVID-19, les propriétaires d’animaux de compagnie s’interrogent. Nos compagnons à quatre pattes peuvent-ils attraper le nouveau coronavirus et peuvent-ils le transmettre ?

 
Sommaire
  1. Aucune preuve de transmission d'un animal de compagnie vers l'homme
  2. Coronavirus : comment protéger son animal ? 
  3. Si une personne de votre foyer est porteuse de la COVID-19 ?

Les animaux de compagnie peuvent-il attraper ou transmettre le coronavirus ?

La chauve-souris, le serpent et maintenant le pangolin… Depuis le début de l’épidémie de coronavirus (Covid-19) en décembre dernier, les études se multiplient afin de trouver l’origine pour mieux lutter contre la maladie respiratoire et stopper l’épidémie qui a déjà fait plus de 300 000 malades dont plus de 100 000 morts (chiffres au 1er mai 2020). Le foyer de l’épidémie étant le marché d’animaux de Wuhan, les scientifiques pensent le nouveau coronavirus pourrait avoir été transmis par un animal. En 2002, le SRAS avait pour origine la civette. Plus tard, le MERS avait été transmis par le dromadaire… Le nouveau coronavirus aurait, lui aussi, une source originelle animale. Cette information a suscité grand nombre d'inquiétudes chez les propriétaires d'animaux de compagnie. 

Aucune preuve de transmission d'un animal de compagnie vers l'homme

Face à toutes ces hypothèses, la question se pose forcément : les animaux de compagnie peuvent-il attraper le virus de la Covid-19 ou le transmettre ?  L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses)avait réuni en urgence un groupe d'experts spécialisées pour y répondre et rendu le 9 mars 2020 un premier avis expliquant "le passage du SARS-COV2 de l’être humain vers une autre espèce animale semble actuellement peu probable".

Entre temps des cas rares mais existants d'animaux testés positifs se sont déclarés. C'est le cas de deux chiens appartenant à une femme touchée par la Covid-19 à Hong-Kong.  "Le suivi du premier chien placé en quarantaine pendant 14 jours à partir du 26 février, puis testé à six reprises, a permis de noter un très faible taux de virus dans les voies respiratoires cavité buccale, puis des résultats négatifs ainsi que l’absence d’anticorps sériques témoignant d’une infection transitoire. La présence du virus dans les déjections n’a pas été démontrée alors que celles-ci sont souvent riches en coronavirus chez les animaux réservoirs. Le deuxième chien testé positif le 18 mars est sous quarantaine et sous surveillance. Les deux chiens n’ont jamais présenté de signes cliniques.", explique l'Académie nationale de médecine dans un communiqué du 24 mars 2020. Pour la communauté médicale et scientifique.

À la suite de ces cas l'Anses a déclaré que "si le génome du virus a été détecté dans les cavités nasales et orales d’un chien au contact d’un patient infecté à Hong Kong, la détection du génome n’est pas une preuve suffisante pour conclure à une infection de l’animal.  Une contamination passive n’est pas à exclure, notamment du fait de la survie possible du virus sur une muqueuse humide sans nécessairement s’y répliquer".

Des chercheurs de l'Institut de recherche vétérinaire de Harbin (Chine) ont décidé de mener une étude sur plusieurs type d'animaux sous l'égide du ministère de l'Agriculture chinois. Les résultats rapportent des cas d'infections entre chats mais pas les chiens, les canards, les poules et les cochons. Dans cette étude ils on transmis le virus à très fortes doses à plusieurs animaux ( chats, chiens, canards,poules et cochons). Après six jours d'incubation, ils ont détecté une charge virale uniquement chez deux chats dont les voies respiratoires supérieures (nez, gorge) étaient touchées, mais pas les poumons, rien pour les autres animaux. Après avoir laissé les deux chats infectés avec les autres chats dans une cage, 3 parmi les 4 autres ont été positifs à la Covid-19 après quelques jours. Ces chiffres restent très peu nombreux pour en tirer des conclusions et surtout le virus a été inoculé à forte dose directement dans les voies respiratoires supérieures des animaux ce qui n'est pas le cas dans un foyer lorsqu'on respecte les règles d'hygiène habituelle.

Après la réceptivité légère découverte chez le chat, le furet ou encore les hamsters, l'Anses a donc décidé de revoir son avis en recensant toutes les nouvelles données de recherches et de contaminations. Après étude les experts concluent : "qu’il n'existe actuellement aucune preuve que les animaux domestiques (animaux d’élevage et de compagnie) jouent un rôle épidémiologique dans la diffusion du SARS-COV-2. De plus, aucun cas de contamination de l’Homme par un animal de compagnie n’a été à ce jour rapporté."

"Il n’est donc pas justifié de prendre des mesures à l’encontre des animaux de compagnie qui pourraient compromettre leur bien-être", a déclaré l’Organisation mondiale de la santé animale. 

Les coronavirus font partie d’une grande famille des virus ARN (acide ribonucléique). La plupart du temps, ils se manifestent par des symptômes digestifs ou respiratoires comme les coronavirus canins ou félins ou les gamma et betacoronavirus chez les oiseaux et le bétail. Certains comme le MERS et le SRAS ont franchi la barrière de l’espèce et se transmettent à l’homme, mais cela reste un phénomène rare.

 

Coronavirus : comment protéger son animal ? 

En attendant l'Académie nationale de médecine recommande tout simplement de "Renforcer les mesures habituelles de biosécurité vis-à-vis des nombreux agents pathogènes pouvant être transmis (aérosols, salive, déjections) par les animaux de compagnie (chien, chat, furet, rongeurs notamment) et souvent ignorés du propriétaire."

L’OMS, médecins et organisations mondiales vétérinaires conseillent si vous ou votre animal n’avez pas été en contact avec une personne touchée par la maladie de :

  • Bien se laver les mains à l’eau et au savon après un contact avec un animal domestique , sa litière ou ses excréments;
  • Ne pas se laisser lécher le visage
  • Restez éloigné de vos animaux si vous êtes malade et portez un masque de protection ;
  • Se couvrir la bouche et le nez lorsque l’on tousse ou éternue ;
  • Une cuisson complète des œufs et de la viande ;
  • Éviter le contact avec des personnes malades présentant des signes respiratoires dégradés.

 

Si une personne de votre foyer est porteuse de la Covid-19 ?

Selon un communiqué de l’organisation mondiale vétérinaire, a priori pas d’inquiétude à avoir si l’animal n’a pas côtoyé spécifiquement un malade touché par la Covid-19.

Si jamais c’était le cas, l'Académie nationale de médecine recommande de "séparer le propriétaire ayant la Covid-19 de son animal de compagnie pendant la période où le malade peut être excréteur du virus. Autant que possible, il faudrait instaurer une quarantaine permettant de limiter tout contact rapproché de l’animal avec les autres membres de la famille (animal dans la chambre, par exemple)." Les spécialistes conseillent d’appeler immédiatement le vétérinaire en expliquant bien la situation et de ne surtout pas déplacer l’animal dans un lieu public ou à la clinique vétérinaire, "attendez les consignes de l’équipe vétérinaire".

Maladies transmises par les chats
 
Face au risque de multiplication d'abandon des animaux qui se contaste déjà, l'Académie nationale de Médecine a tenu à rappeler que "dans un foyer où une personne malade à la Covid-19, le risque pour les personnes vivant sous le même toit est bien plus lié aux contacts avec ce malade qu’avec l’animal de compagnie" soulignant que "tout particulièrement en période de confinement, l’animal de compagnie est bien plus un ami qu’un danger."

 

Sources :