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FAVORISER UN BON COMPORTEMENT |
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Généralement lors de la remise du « Passeport pour animal de compagnie » vous permettant de promener votre animal dans tous les pays de l’Union Européenne votre vétérinaire, centre d’adoption ou d’élevage vous remet un carnet/livret de conseils ou recommandations concernant son éducation et son comportement, comme par exemple :
Ces quelques conseils vont vous permettre de prendre un ‟bon départ” avec votre animal de compagnie. Malheureusement, selon la race de votre animal, de son caractère et/ou de votre bonne volonté à respecter ces conseils vous serez vite débordés par son tempérament et/ou son(ses) comportement(s) gênants. |
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Cyrius à 2,5 mois - boxer fauve |
Si, effectivement ces recommandations ne suffisent pas toujours c’est qu’elles sont incomplètes et qu’elles méritent d’être détaillées/expliquées pour être comprises. Pour autant, elles ne seront généralement pas suffisantes pour contribuer à une relation saine et complice avec votre animal de compagnie. Il convient de rappeler qu’en ce qui concerne votre chien est un animal social. Il a donc besoin qu’on s’occupe de lui, de rencontrer d’autres personnes, d’autres animaux y compris des congénères et surtout de flairer d'autres odeurs. |
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Le brosser tout en cherchant la présence d’éventuels parasites ou du moindre bobo, regarder l’intérieur de ses oreilles, surveiller la propreté de sa dentition et la longueur de ses griffes sont des petites opérations de manipulations qui, non seulement vous rassureront sur la santé de votre animal, mais qui auront l’avantage de l’habituer à être manipulé tout en améliorant votre relation maître-chien, votre complicité. D'autre part, vous (et votre animal) serez plus à l'aise chez votre vétérinaire. |
Driver à 11 ans - boxer bringé |
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En aucun cas l’espace jardin, aussi grand soit-il, ne saurait satisfaire sa curiosité et ses besoins à flairer tout ce qui l'entoure car c’est un animal doué de facultés olfactives puisque c’est un animal macrosmatique. Et pour terminer, il y a des comportements à ne pas avoir et/ou à montrer envers notre animal de compagnie que l’on appelle, pour ne citer qu'eux, les anthropomorphismes. Ils sont les reflets des réactions humaines que l’on attribue à son animal et qui vont l’amener à mal réagir et à avoir le(des) comportement(s) gênant(s). Les illustrations et mes expériences sur ce sujet sont nombreuses, mais je ne citerai qu'un cas concret en mémoire à leur stupéfaction lorsque je leurs ai conseillé de ne pas laisser à leur chienne l'accès à la chambre. Un cas concret : un couple de retraités qui pensait bien faire ("ils l'ont vu à la télé") en permettant à leur chienne de dormir dans le lit. |
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